Passe moi le bic ou le clavier que je pose mes hantises sur blog ou sur papier,
ça plane comme un parfum de folie sur les visages,
ça ronge les idées et fait saigner les dernières attaches.
L'esprit rouge vif et poudreux comme de la terre battue.
Si j'ai levé l'ancre, j'ai pas lâché l'encrier,
foutre ce qui me restait de croyance dans les flammes de l'instant,
c'était peut être la dernière des choses à faire.
Lui comme Elle m'ont libéré pour de bon,
une fulgurance, un rubis, j'ai plus d'emprise sur rien.
Des états mentaux brillants et fuyants
comme des éclats de verre aux milieux des poussières du quotidien.
Une vie défrichée et ravagée qui attend sa moisson.
23 piges nom de dieu écartez vous.
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