La nuit passe comme une caresse sur nos songes. Avec une infini douceur elle lave nos pensées les plus sombres dans un bain de lumière invisible. Au petit matin il ne nous reste qu'à ouvrir les paupières pour observer la simplicité du dénouement et entendre cet écho d'évidence.
Tout les jours m'obscurcissent d'innombrable questions et toutes les nuits m'éclairent d'un chuchotement de réponse.
Tout les jours m'obscurcissent d'innombrable questions et toutes les nuits m'éclairent d'un chuchotement de réponse.
Autant de héros que de regards d'enfants.
Autant de cons que de personnes incomprises.
Autant de limites dans la haine que dans l'amour.
Au final il y aura sans doute autant de naissances que de morts.
L'arbre des possibilités nous laisse supposer
un équilibre dans la structure et l'extrémité de ses branches.
un équilibre dans la structure et l'extrémité de ses branches.
J'imagine l'univers comme le vacillement d'une balance
qui engloberai tout ce qui existe dans son mouvement,
ce mouvement serait ce qu'on pourrait appeler l'élan vital
et la mort ne serait par conséquent rien de plus que l'immobilité.
et la mort ne serait par conséquent rien de plus que l'immobilité.
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